“Avec Basile, on a mis du temps à s’apprivoiser” : Marie-Caroline Cail (Familles nombreuses) revient sur ses quatre jours de coma à la naissance de son fils

Marie-Caroline Cail s’est livrée avec une grande force dans le numéro de Familles nombreuses : la vie en XXL diffusé ce mardi 27 mai sur TF1. La maman qui a frôlé la mort à la naissance de son dernier fils revient sur leur relation, au départ, compliquée.

En deux ans, Marie-Caroline Cail est devenue l’une des personnalités emblématiques de l’émission Familles nombreuses : la vie en XXL, qu’elle n’a pas quittée depuis. Maman au ton franc, cette responsable recrutement de 35 ans élève ses six enfants avec de belles valeurs. Les fidèles du docu-réalité ont récemment suivi leurs aventures à huit sur les Chemins de Saint-Jacques de Compostelle ! Dans l’épisode inédit proposé ce mardi 27 mai sur TF1, la trentenaire aborde un autre sujet personnel.

Marie-Caroline Cail (Familles nombreuses) fait part du traumatisme de son accouchement qui a longtemps joué sur sa relation avec son fils

Rares sont les instants où elle se retrouve seule avec un de ses fils ou sa petite France. Mais au cours du numéro diffusé cet après-midi, Marie-Caroline Cail n’a d’yeux que pour Basile. L’occasion pour elle de faire des aveux touchants sur leur relation. “Depuis sa naissance, on a une relation particulière tous les deux, je pense que mon accident au moment de la naissance a marqué quelque chose que ce soit de mon côté ou de son côté”, explique celle qui a été victime d’une embolie pulmonaire la plongeant dans le coma lors de son ultime accouchement en 2021. “J’ai revu Basile au bout de 4-5 jours, donc il y a eu cette séparation au début qui a été difficile. On a mis beaucoup de temps à s’apprivoiser. Je venais quand même de vivre un choc physique qui ne me permettait pas de m’en occuper les premières semaines. Ce sont nos familles qui s’en sont occupés”, indique la compagne de Guillaume. Une situation qui lui a causé beaucoup de moments de solitude…

Marie-Caroline Cail (Familles nombreuses) seule face à ses pensées, elle a décidé de se faire aider

Face caméra, la femme suivie par près de 100 000 personnes sur les réseaux sociaux avoue : “Au tout début quand je berçais cet enfant, j’avais carrément l’impression de bercer la mort parce que son visage ne me rappelait que cette réanimation, cet arrêt cardiaque et embolie pulmonaire. C’était très difficile de dissocier ce petit bébé si mignon de mon accident“. Envahie par “la culpabilité” de ne pas réussir à nouer les mêmes liens avec ce petit qu’avec ses frères et sa sœur, Marie-Caroline Cail s’est refermée sur elle-même. J’ai pleuré des nuits entières dans mon lit car mais je n’osais pas parler du cauchemar intérieur que je vivais, admet la mère qui à la suite d’une réflexion de son mari sur son comportement différent a eu le déclic de se confier d’abord à son conjoint puis de se “faire accompagner pour ça”.

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