Stéphane Plaza est finalement ressorti libre, ce mardi 6 mai, de garde à vue après avoir été entendu par la police judiciaire de Seine-Saint-Denis dans une affaire de trafic de drogue.
En ce début de semaine, Stéphane Plaza fait à nouveau parler de lui pour une sombre enquête, trois mois après sa condamnation pour violences conjugales. Interpellé à son domicile dans les Yvelines, ce lundi 5 mai, l’animateur de 54 ans a été placé en garde à vue dans le cadre d’une affaire de trafic de drogue dont il serait un fidèle client. Selon les informations du Parisien, plusieurs éléments incriminants auraient été retrouvés au sein de la propriété du célèbre agent immobilier, dont des traces de cocaïne et du matériel pour en consommer.
Stéphane Plaza mêlé un trafic de drogue : cette mesure qui lui a permis d’éviter toute poursuite judiciaire
Présumé innocent, Stéphane Plaza est finalement ressorti libre, ce mardi 6 mai, de cette garde à vue qui aura duré quelques heures. Soulagés, ses avocats ont nié “toute présence de stupéfiants” à son domicile et aucune poursuite judiciaire n’a été engagée contre la star de Recherche appartement ou maison. BFM TV avance toutefois qu’une décision du procureur de la République, une sorte de mesure alternative nommée “contribution citoyenne”, aurait permis à Stéphane Plaza d’éviter d’avoir plus d’ennuis. Pour en bénéficier, l’ex-vedette du petit écran se serait acquittée de 3 000 euros, soit le maximum que prévoit cette mesure, versés à une association d’aide aux victimes. Un accord qui prouve “que l’infraction a tout de même existé”, soulignent nos confrères.
Interrogé lors d’un précédent procès, Stéphane Plaza avait nié être un consommateur de drogues
Déjà entendu par le tribunal de Paris en janvier dernier en raison de son procès pour violences conjugales, Stéphane Plaza avait indiqué n’avoir “jamais, jamais” été consommateur de drogues alors que certaines plaignantes avaient évoqué ses addictions. Pourtant, Le Parisien affirmait que “Stéphane Plaza faisait partie des objectifs de la police judiciaire [de Seine-Saint-Denis]” dans cette enquête. Et de préciser : “Depuis l’année dernière, le SDPJ 93 travaillait en préliminaire sur un trafic de cocaïne à destination, en particulier, de clients parisiens”. Pour l’heure, l’intéressé n’a pas encore publiquement réagi.