Le comédien Joakim Latzko a récemment révélé qu’une thématique pourtant actuelle ne serait pas abordée dans Plus belle la vie, encore plus belle : le chemsex.
Diffusée désormais sur TF1, Plus belle la vie, encore plus belle s’est imposée comme un rendez-vous incontournable de la semaine pour de nombreux téléspectateurs.
Plus belle la vie, une série en phase avec son époque
Déjà, lorsqu’elle était programmée sur France 3, la série avait su traiter avec justesse des sujets de société majeurs, tels que la drogue ou le harcèlement scolaire. Elle a toujours su rester en phase avec son époque, comme en témoigne le mariage emblématique de Thomas et Gabriel.
“C’était juste avant le tout premier mariage gay réel célébré en mairie. Nous avons été diffusés trois jours avant. C’était incroyable que les auteurs aient anticipé ce moment avec autant de justesse. On est très fiers de ce passage. Plus belle la vie a toujours su représenter tous les profils, toutes les orientations, et ça joue un rôle important dans l’évolution des mentalités.” nous a confié Joakim Latzko lorsque nous l’avons interrogé sur le divorce entre Thomas et Gabriel.
Joakim Latzko blacklisté à cause de Plus belle la vie, encore plus belle ? “Comme si c’était frappé de la peste…”
Le chemsex, un sujet qui n’est pas prêt d’être évoqué dans la série de TF1
Le comédien qui incarne le médecin de la nouvelle place du Mistral, nous a révélé qu’une thématique autour du chemsex, véritable fléau, ne devrait pas être abordée dans la série. “J’ai comme un doute…Il y a eu un plan à trois dans la série il y a quelques années. Un flacon de poppers était présent sur la table, et cette scène n’aurait sans doute pas été aussi controversée sans la présence de cette bouteille, donc nous ne sommes pas près de parler de ça dans Plus belle la vie, encore plus belle.” nous a-t-il dit ne fermant toutefois pas la porte à cette possible histoire : “Si jamais cela devait être abordé, ce serait peut-être via des personnages comme Vadim ou Éric. Je le vois moins sur nos personnages, pour l’instant en tout cas.” nous a-t-il confié avec sincérité. Comme l’explique le site Sidaction, le chemsex se caractérise “par la répétition prolongée des consommations de drogues et des rapports sexuels sur plusieurs heures voire plusieurs jours. Cela expose les participants à divers risques, dont la dépendance, les surdoses parfois mortelles, mais aussi des pratiques sexuelles non protégées.“. Certains centres, comme les CSAPA et les CAARUD, tentent d’aider les personnes concernées en proposant un accompagnement axé sur la prévention, la réduction des risques et le traitement des addictions.
Plus belle la vie : Bryan Tresor et Pauline Bression évoquent le retour mouvementé d’Emma et Baptiste