Aux côtés de Marina Carrère d’Encausse, Claire Chazal s’est confiée sur sa vision du temps qui passe et sa peur de la mort au cours de l’émission C l’hebdo la suite diffusée le samedi 26 avril.
Dans son émission C l’hebdodu samedi 26 avril, Aurélie Casse a invité deux femmes journalistes, venues présenter des projets tout à fait différents. La première Claire Chazal, s’est rendue sur le plateau de France 5 pour discuter de ses interviews qu’elle diffuse sur Youtube, dans lesquelles elle s’entretient avec des personnalités dans son propre appartement. La seconde, Marina Carrère d’Encausse, est venue pour faire la promotion de son nouveau documentaire, L’alcool au féminin : elles brisent le tabou, qui sera diffusé le 13 mai prochain sur France 5, dans lequel elle creuse la question de l’alcoolisme chez les femmes, en recueillant notamment le témoignage de Muriel Robin. Mais c’était aussi l’occasion pour Aurélie Casse de demander aux deux journalistes, toutes les deux sexagénaires, quelles étaient leur vision du temps qui passe. Marina Carrère d’Encausse s’est dite “pas du tout angoissée”, et a affirmé que “les choses s’apaisent avec le temps”.
“Moi c’est ça qui m’angoisse” : Claire Chazal se confie sur la peur de la mort
L’ancienne présentatrice du JT de TF1 a rejoint sa consœur sur la question de l’apaisement : “il y a des choses qui se replacent un peu naturellement, on fait le tri, et peut-être on apprécie mieux des moments un petit peu plein”, a-t-elle estimé. Mais elle a ensuite tempéré sa position, ajoutant qu’il “y a quand même la peur du temps qui se rétrécit […]. Le champ des possibles – physiquement, peut-être intellectuellement, amicalement, amoureusement – tout ça se resserre… Moi c’est ça qui m’angoisse.”
“C’est plus attachant” : est-ce que Claire Chazal a eu recours à la médecine ou la chirurgie esthétique ?
Claire Chazal a ensuite poursuivi cette réflexion sur le temps qui passe. “Et puis j’ai peur du passage, de disparaître… De disparaître pour des gens qui m’aiment, un fils…”, a-t-elle confié. Mais cette peur de la mort ne la pousse pas à tenter de se faire paraître plus jeune en “touchant à son visage”, comme l’a ensuite souligné Aurélie Causse, ce à quoi la journaliste a répondu : “je suis comme Marina, je n’ai pas du tout de tabou et je comprends très bien qu’on le fasse, mais je ne l’ai pratiquement pas fait.” Comme sa consœur Marina Carrère d’Encausse, la présentatrice du Grand Echiquier avoue avoir “peur”, et trouver “qu’un visage qui vit, c’est plus attachant”.
Article écrit en collaboration avec 6médias.